Pourquoi suivre les KPI est essentiel en communication corporate

Dans un monde où l’image d’une entreprise peut être façonnée – ou écornée – en quelques clics, la communication corporate joue un rôle clé dans la construction de la réputation, la fidélisation des parties prenantes et la valorisation de l’identité de marque. Mais comment savoir si vos actions de communication portent réellement leurs fruits ? C’est là que les KPI entrent en jeu.

✅ Qu’est-ce qu’un KPI en communication corporate ?

Un KPI, ou Key Performance Indicator (indicateur clé de performance), est une donnée mesurable qui permet d’évaluer l’efficacité d’une action ou d’une stratégie. En communication corporate, il s’agit de suivre des indicateurs précis pour savoir si vos objectifs sont atteints – que ce soit en termes de visibilité, d’engagement, de réputation ou de cohésion interne.

📊 Pourquoi suivre les KPI en communication corporate ?

1. Piloter sa stratégie en toute objectivité

La communication corporate repose autant sur l’intuition que sur les données concrètes. Les KPI permettent de sortir du flou : ils donnent des éléments factuels pour mesurer ce qui fonctionne… ou pas. Grâce à eux, vous pouvez ajuster vos campagnes, optimiser vos supports et améliorer la pertinence de vos messages.

2. Justifier les investissements en communication

La communication est parfois perçue comme un centre de coût. Or, grâce aux KPI, il devient possible de démontrer le retour sur investissement (ROI) de vos actions. Par exemple : une hausse du trafic sur le site institutionnel après une campagne de notoriété, ou une amélioration de l’image de marque suite à une initiative RSE bien relayée.

3. Anticiper les crises et gérer la réputation

Suivre en temps réel les KPI liés à la e-réputation (mentions négatives, sentiment global, évolution des avis) permet de détecter les signaux faibles avant qu’une crise n’éclate. Une baisse soudaine de la confiance peut alerter sur un problème à régler en interne ou sur une communication externe mal perçue.

4. Fédérer en interne et mobiliser les équipes

Les KPI ne servent pas uniquement à surveiller l’impact externe. Ils sont aussi utiles pour mesurer l’efficacité de la communication interne : taux de lecture de la newsletter, participation aux événements internes, satisfaction des collaborateurs… Des données précieuses pour renforcer l’engagement et la culture d’entreprise.

5. Montrer l’évolution dans le temps

Un bon tableau de bord de KPI permet de visualiser les tendances : la progression de votre notoriété, l’évolution de l’engagement des parties prenantes ou encore la récurrence des mentions positives. Cette perspective historique est essentielle pour construire une stratégie sur le long terme.

🛠️ Quelques KPI incontournables à suivre :

  • Nombre de mentions dans les médias
  • Taux de notoriété spontanée / assistée
  • Sentiment global (positif / neutre / négatif)
  • Taux d’engagement sur les réseaux sociaux
  • Trafic direct sur le site institutionnel
  • Participation aux événements internes
  • Score de réputation en ligne

🎯 En résumé

Les KPI sont bien plus que des chiffres : ce sont des boussoles stratégiques. En les intégrant à votre démarche de communication corporate, vous gagnez en clarté, en efficacité et en crédibilité. Suivre ses KPI, c’est transformer la communication en levier de performance globale.

Protéger son e-réputation, c’est aussi protéger ses comptes web

Votre image en ligne peut être ruinée en quelques clics. Et si cela venait d’un simple mot de passe trop faible ?
Dans un monde où tout se joue en ligne – des relations professionnelles aux interactions sociales – votre réputation numérique est devenue un capital précieux. Pourtant, elle repose souvent sur des fondations fragiles : un compte mal sécurisé, une fuite de données, ou une usurpation d’identité peuvent suffire à faire vaciller l’image que vous avez mis des années à construire.

La cybersécurité et la e-réputation sont désormais étroitement liées. Une faille dans votre sécurité numérique peut entraîner bien plus qu’une perte de données : elle peut nuire à votre crédibilité, à votre image publique, voire à votre carrière ou à votre entreprise.

Cet article a pour objectif de vous montrer pourquoi la protection de vos comptes en ligne est un acte essentiel pour préserver votre e-réputation. Nous verrons ensemble les différents types de pirates, les risques encourus, et surtout, les bonnes pratiques à adopter pour sécuriser votre présence numérique de manière durable.

2. Qui sont les hackers ? Comprendre les différents profils de pirates

Le terme « hacker » évoque souvent l’image d’un individu cagoulé tapotant dans l’ombre pour infiltrer des systèmes informatiques. En réalité, tous les hackers ne sont pas malveillants, et il existe plusieurs catégories aux objectifs bien différents.

Un hacker est, avant tout, une personne qui maîtrise l’informatique de manière poussée et qui utilise ses compétences pour accéder à des systèmes, les analyser, les modifier ou en tester les limites. Ce que ces compétences servent, en revanche, varie fortement selon leur éthique et leurs intentions.

Voici les trois grandes familles de hackers, selon leur profil et leur finalité :

🧠 Les White Hat (chapeaux blancs)

Ce sont les « gentils » du hacking. Éthiques et souvent mandatés par des entreprises ou institutions, les White Hats détectent et corrigent les failles de sécurité avant que des personnes malveillantes ne puissent en profiter. Leur rôle est crucial pour renforcer la cybersécurité.

😈 Les Black Hat (chapeaux noirs)

À l’opposé, les Black Hats sont les pirates malveillants. Leur objectif : exploiter les failles pour voler des données, nuire à une organisation ou une personne, diffuser des logiciels malveillants, ou encore faire du chantage. Ils agissent de manière illégale et souvent anonyme.

⚖️ Les Gray Hat (chapeaux gris)

Entre les deux, on trouve les Gray Hats. Ils peuvent détecter et signaler des failles sans y avoir été invités, voire exploiter une vulnérabilité de manière non autorisée – mais sans intention clairement malveillante. Leur comportement reste souvent illégal, bien qu’ils se positionnent comme des “justiciers numériques”.

👉 Pour en savoir plus sur ces profils, vous pouvez consulter l’article complet d’Avast sur les types de hackers.

Comprendre ces distinctions permet de mieux évaluer les risques et les intentions derrière un piratage potentiel. Tous les hackers ne veulent pas forcément vous nuire, mais tous peuvent mettre à l’épreuve la solidité de votre sécurité numérique.

3. Protéger ses comptes en ligne : les bases de la cybersécurité personnelle

Sécuriser ses comptes en ligne est aujourd’hui une nécessité absolue, tant pour protéger ses données que pour préserver sa réputation numérique. Voici les piliers de la cybersécurité personnelle à mettre en place sans attendre.

a. Choisir un bon mot de passe

Le mot de passe est la première barrière entre un pirate et vos informations personnelles. Trop souvent négligé, il doit répondre à plusieurs critères essentiels :

  • Long : privilégiez les mots de passe d’au moins 12 caractères.
  • Complexe : mélangez majuscules, minuscules, chiffres et caractères spéciaux.
  • Unique : utilisez un mot de passe différent pour chaque service.

💡 Astuce : optez pour une phrase de passe (ex. : Lapluie@tombe-surParis!en2025), bien plus difficile à deviner qu’un mot simple. Évitez absolument les dates de naissance, noms d’animaux ou d’enfants, trop facilement trouvables en ligne.

Pour ne pas avoir à les mémoriser tous, utilisez un gestionnaire de mots de passe comme Bitwarden, 1Password ou LastPass. Ces outils sécurisés génèrent et stockent automatiquement des mots de passe forts.

b. Activer la double authentification (2FA)

Même avec un bon mot de passe, un compte peut être compromis. C’est pourquoi la double authentification (ou 2FA – two-factor authentication) est essentielle. Elle ajoute une couche de sécurité supplémentaire en demandant une confirmation de votre identité via un code unique envoyé par :

  • SMS
  • Application mobile (comme Google Authenticator, Microsoft Authenticator, ou Authy)
  • Clé physique (Yubikey, etc.)

Résultat : même si un pirate obtient votre mot de passe, il ne pourra pas accéder à votre compte sans le second facteur.

c. Mettre à jour régulièrement ses logiciels et applications

Chaque jour, des failles de sécurité sont découvertes dans les logiciels que nous utilisons. Les mises à jour permettent de les corriger et d’éviter qu’elles ne soient exploitées par des hackers.

✅ Pensez à mettre à jour :

  • Votre système d’exploitation (Windows, macOS, Linux, Android, iOS)
  • Vos navigateurs web
  • Vos applications, notamment les messageries, réseaux sociaux, ou services cloud
  • Vos plugins, extensions et CMS si vous gérez un site internet (WordPress, Joomla, etc.)

Automatiser les mises à jour quand c’est possible est un excellent réflexe.

En appliquant ces trois règles simples, vous réduisez considérablement les risques d’intrusion. Et surtout, vous protégez votre identité numérique – un capital précieux, qu’il vaut mieux préserver que réparer.


4. Sauvegarder ses données : une habitude indispensable

Trop souvent négligée, la sauvegarde des données est pourtant un réflexe fondamental en cybersécurité. Qu’il s’agisse de fichiers personnels, de documents professionnels ou de contenus sensibles, perdre ses données peut avoir des conséquences lourdes, voire irréversibles — et impacter votre e-réputation si ces informations tombent entre de mauvaises mains.

Pourquoi sauvegarder ?

Les risques de perte de données sont nombreux, et bien plus courants qu’on ne le pense :

  • Panne matérielle : un disque dur qui lâche sans prévenir, un smartphone qui cesse de fonctionner…
  • Vol ou perte physique : un ordinateur ou téléphone volé, égaré dans les transports…
  • Cyberattaque : les ransomwares chiffrent vos fichiers et exigent une rançon pour les récupérer.
  • Effacement accidentel : une mauvaise manipulation ou un fichier supprimé trop vite, et c’est trop tard.
  • Dégâts physiques : incendie, dégâts des eaux, etc. peuvent détruire tous vos appareils d’un coup.

➡️ En cas d’incident, une sauvegarde fiable permet de restaurer rapidement vos fichiers et de limiter les impacts, que ce soit sur votre productivité ou votre image.

Où sauvegarder ?

Il est recommandé de ne pas dépendre d’un seul support de sauvegarde. La règle d’or souvent citée en cybersécurité est la règle du 3-2-1 :

  • 3 copies de vos données
  • 2 supports différents
  • 1 copie hors site (cloud ou autre lieu physique)

Voici les options à privilégier :

  • Le cloud sécurisé
    Des services comme Google Drive, Dropbox, iCloud, OneDrive, pCloud ou encore Proton Drive (chiffré) permettent d’accéder à vos fichiers depuis n’importe où. Assurez-vous que le service est fiable, chiffré, et propose l’authentification à deux facteurs.
  • Le disque dur externe
    Facile à utiliser, peu coûteux, mais à stocker dans un endroit sûr (évitez de le laisser branché en permanence, surtout en cas de ransomware).
  • Le NAS (Network Attached Storage)
    Solution plus professionnelle, un NAS est un petit serveur personnel ou d’entreprise qui permet de sauvegarder vos données en local tout en y accédant à distance. Certains modèles proposent une redondance (RAID) pour plus de sécurité.

Fréquence recommandée et automatisation des sauvegardes

👉 La régularité est la clé. Une sauvegarde ancienne est souvent inutile si vos fichiers ont changé entre-temps.

  • Pour un usage personnel : une sauvegarde hebdomadaire est un bon rythme de base.
  • Pour un usage professionnel ou critique : optez pour une sauvegarde quotidienne, voire en temps réel.

📅 Automatisez vos sauvegardes pour ne pas dépendre de votre mémoire ou de votre emploi du temps. La plupart des services cloud ou logiciels de sauvegarde (comme Acronis, Time Machine, Duplicati, SyncBack) proposent des options planifiées.

En résumé : sauvegarder, c’est anticiper. Une seule attaque ou une simple erreur peut suffire à tout perdre. En intégrant la sauvegarde dans votre routine numérique, vous protégez vos fichiers — mais aussi votre tranquillité d’esprit et votre réputation.


5. Autres bonnes pratiques pour sécuriser son identité en ligne

Au-delà des mots de passe solides, de la double authentification ou des sauvegardes, protéger son identité numérique au quotidien demande aussi d’adopter des réflexes simples mais essentiels. Voici un tour d’horizon des bonnes pratiques complémentaires pour préserver votre cybersécurité… et donc votre e-réputation.

🔒 Ne pas partager trop d’informations personnelles sur les réseaux

Photos de vacances en temps réel, adresse, école de vos enfants, nom de votre animal (souvent utilisé comme mot de passe)…
Toutes ces informations peuvent sembler anodines, mais elles constituent une mine d’or pour les hackers.

➡️ Plus vous en dites, plus vous offrez de points d’entrée potentiels à des personnes malveillantes.
Pensez à :

  • Paramétrer vos profils en mode privé
  • Limiter la visibilité de vos publications
  • Séparer vos usages personnels et professionnels

Ce que vous publiez façonne votre image – mais peut aussi vous mettre en danger.

📨 Attention aux liens et pièces jointes dans les mails (phishing)

Le phishing est l’un des pièges les plus fréquents en ligne. Un e-mail bien imité, une pièce jointe infectée, un lien vers une fausse page de connexion… et vous risquez de divulguer vos identifiants ou d’installer un logiciel malveillant sans vous en rendre compte.

Quelques bons réflexes :

  • Ne jamais cliquer sur un lien douteux, même s’il semble venir d’un contact connu.
  • Vérifier l’adresse e-mail de l’expéditeur (souvent légèrement modifiée).
  • Ne jamais saisir ses identifiants en cliquant sur un lien d’un e-mail : allez directement sur le site officiel.

🔍 Vérifier régulièrement les connexions actives sur ses comptes

Beaucoup de services (Google, Facebook, Instagram, Netflix, etc.) permettent de voir les connexions actives à votre compte : appareils utilisés, localisation approximative, horaires de connexion…

👉 Si vous voyez un appareil ou une localisation suspecte :

  • Déconnectez tout (option « Se déconnecter de toutes les sessions »)
  • Changez immédiatement votre mot de passe
  • Activez la double authentification si ce n’est pas déjà fait

🛡️ Utiliser un antivirus et un pare-feu fiables

Un bon antivirus ne se contente pas de bloquer les virus : il peut aussi détecter les logiciels espions, les ransomwares, et vous avertir lorsque vous accédez à un site à risque.

Couplé à un pare-feu, il agit comme un gardien qui filtre les connexions entrantes et sortantes de votre appareil.

💡 Choisissez une suite de sécurité reconnue (Bitdefender, ESET, Norton, Kaspersky, etc.), et assurez-vous qu’elle reste à jour automatiquement.

📱 Gérer les autorisations des applis et extensions

Applications mobiles, extensions de navigateur, plugins… tous ces outils demandent parfois des accès disproportionnés à vos données (micro, appareil photo, fichiers, géolocalisation…).

Prenez l’habitude de :

  • Vérifier les autorisations accordées
  • Supprimer les applications ou extensions inutilisées
  • Préférer des outils vérifiés et bien notés

➡️ Un plugin douteux peut facilement siphonner vos données ou injecter du contenu malveillant dans vos sessions en ligne.

En adoptant ces bonnes pratiques au quotidien, vous devenez l’acteur principal de votre propre cybersécurité.
Et vous renforcez, en parallèle, la solidité de votre image numérique, qu’elle soit personnelle ou professionnelle.


Conclusion

La cybersécurité n’est plus une option ni un luxe réservé aux grandes entreprises : c’est une nécessité pour toute personne ayant une présence en ligne. Dans un monde hyperconnecté, chaque clic, chaque mot de passe, chaque autorisation accordée façonne non seulement votre niveau de sécurité, mais aussi votre image numérique.

Car oui, la e-réputation et la cybersécurité sont intimement liées : une faille de sécurité peut rapidement devenir un bad buzz, une perte de confiance de vos clients ou de votre communauté, voire une atteinte à votre intégrité personnelle. Imaginez que votre compte professionnel soit piraté et utilisé pour diffuser des messages compromettants, ou que vos données personnelles soient exposées publiquement… Les conséquences peuvent être graves, durables, et parfois irréparables.

Dans cet environnement numérique mouvant, où les cybermenaces évoluent constamment, mieux vaut prévenir que guérir. La prévention passe par des gestes simples mais puissants :
🔐 Des mots de passe solides et uniques
📲 La double authentification activée sur tous les comptes importants
☁️ Des sauvegardes régulières de vos données
⚠️ Une vigilance constante face aux tentatives de phishing ou aux extensions douteuses
🛡️ Et une gestion rigoureuse de vos appareils et applications

Ces habitudes, une fois ancrées dans votre quotidien, vous offrent une véritable barrière de protection, renforcent votre crédibilité numérique, et vous permettent d’évoluer sereinement dans votre vie personnelle comme professionnelle.

👉 Alors ne remettez pas à demain ce que vous pouvez sécuriser aujourd’hui.
Prenez le temps de faire un audit de vos comptes, mettez à jour vos mots de passe, activez la 2FA, nettoyez vos applications inutiles, et assurez-vous que vos données sont bien sauvegardées.

Votre identité numérique est précieuse. Prenez-en soin, car personne ne le fera à votre place.

Les bonnes dimensions d’images pour les réseaux sociaux en 2025

Publier du contenu de qualité sur les réseaux sociaux ne suffit plus : le format visuel est devenu un levier stratégique pour capter l’attention et maximiser l’impact. En 2025, chaque plateforme a ses propres exigences, et utiliser les bons formats, c’est garantir la lisibilité, la performance et la portée de vos publications.

Voici un guide à jour des tailles d’images à utiliser dans le fil d’actualité d’Instagram, Facebook, LinkedIn, TikTok et X (ex-Twitter).


🔍 Pourquoi les bonnes dimensions sont-elles cruciales ?

  • 🖼️ Un visuel mal dimensionné peut apparaître flou, rogné ou mal cadré.
  • 📲 Le mobile-first impose des formats verticaux optimisés.
  • 📈 L’algorithme favorise les posts clairs, engageants et adaptés.

✅ Les dimensions recommandées en 2025

📱 Instagram

  • Carré : 1080 x 1080 px
  • Portrait (recommandé) : 1080 x 1350 px
  • Paysage : 1080 x 566 px
    💡 Astuce : le format portrait prend plus de place dans le feed mobile = plus de visibilité.

📘 Facebook

  • Carré : 1200 x 1200 px
  • Portrait : 1200 x 1500 px
  • Paysage : 1200 x 630 px
    💡 Choisissez le format selon votre objectif : photo simple, lien, ou visuel événementiel.

💼 LinkedIn

  • Carré : 1080 x 1080 px
  • Portrait : 1080 x 1350 px (accepté, mais peu utilisé)
  • Paysage : 1200 x 628 px
    💡 Pensez à soigner votre image de marque dans chaque post corporate.

🎵 TikTok

  • Format unique : Portrait : 1080 x 1920 px
    💡 TikTok est 100 % vertical. Préparez vos visuels et vidéos dans ce format natif.

🕊️ X (ex-Twitter)

  • Carré : 1080 x 1080 px
  • Portrait : 1080 x 1350 px
  • Paysage : 1600 x 900 px
    💡 Le paysage reste dominant sur X, surtout pour les partages d’articles et infographies.

🎯 Conclusion : une bonne taille pour un bon message

Adapter vos visuels aux bons formats, c’est :

  • Garantir la clarté de votre message visuel
  • Éviter les recadrages automatiques qui nuisent à l’expérience utilisateur
  • Optimiser vos taux d’engagement sur chaque plateforme

Chez Comerep.fr, nous vous aidons à produire des visuels impactants, calibrés pour chaque réseau social, que ce soit pour une campagne, une page pro ou une stratégie de contenu complète.

La Journée Mondiale des Community Managers

La Journée Mondiale des Community Managers, célébrée chaque année le 23 janvier, est une occasion spéciale dédiée à reconnaître et à célébrer le travail essentiel de ces professionnels dans le paysage numérique moderne. Souvent dans l’ombre, les community managers jouent un rôle vital en tant qu’architectes de la présence en ligne des entreprises et des marques. Leur travail va bien au-delà de la simple publication de contenu sur les réseaux sociaux ; ils sont les gardiens de la réputation en ligne, les catalyseurs de l’engagement et les médiateurs entre la marque et sa communauté virtuelle.

Dans un monde de plus en plus connecté où la présence en ligne est essentielle pour la réussite des entreprises, la profession de community manager revêt une importance croissante. Pourtant, elle reste souvent sous-estimée et méconnue du grand public. Cet article vise à mettre en lumière l’importance de cette profession souvent négligée et à expliquer pourquoi elle mérite d’être célébrée et reconnue à l’échelle mondiale.

I. Le rôle des Community Managers :

Les community managers assument un rôle multifacette au sein des entreprises et des marques, agissant comme des chefs d’orchestre de la présence en ligne. Leur mission dépasse largement la simple gestion des réseaux sociaux et comprend diverses responsabilités essentielles :

1. Définition du rôle et des responsabilités :

Les community managers sont les représentants de la marque sur les plateformes numériques. Leur rôle principal est de créer, développer et entretenir une communauté en ligne engagée autour de la marque. Ils sont responsables de l’élaboration et de la mise en œuvre de stratégies de communication et d’engagement, ainsi que de la gestion de la réputation en ligne de l’entreprise.

2. Gestion des réseaux sociaux :

Les community managers sont chargés de gérer les comptes officiels de la marque sur divers réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, etc. Cela implique la planification et la publication de contenu pertinent, la gestion des interactions avec les abonnés, la réponse aux commentaires et aux messages, ainsi que la surveillance de la réputation en ligne.

3. Création de contenu :

En plus de gérer les interactions avec la communauté, les community managers sont également responsables de la création de contenu attractif et engageant. Cela peut inclure la rédaction d’articles de blog, la création de vidéos, la conception d’images et de graphiques, et la planification de campagnes publicitaires sur les réseaux sociaux.

4. Interaction avec la communauté :

Une partie essentielle du travail des community managers est d’interagir avec la communauté en ligne. Cela implique de répondre aux questions, de résoudre les problèmes, de prendre en compte les commentaires et les suggestions, et de maintenir un dialogue ouvert et positif avec les abonnés.

5. Résolution des problèmes :

Les community managers sont souvent confrontés à des situations délicates, telles que des commentaires négatifs, des crises de réputation en ligne, ou des clients mécontents. Ils doivent être en mesure de gérer ces situations avec tact, en apportant des réponses appropriées et en trouvant des solutions satisfaisantes pour toutes les parties impliquées.

Illustration de l’impact concret :

L’impact du community management sur la perception de la marque et la fidélisation des clients est significatif. Leur capacité à créer et à entretenir une communauté en ligne engagée peut influencer positivement l’image de la marque, renforcer la confiance des consommateurs et encourager la fidélité à long terme. Par exemple, une réponse rapide et courtoise à un commentaire négatif peut transformer une expérience négative en une opportunité de renforcer la relation avec le client et de démontrer l’engagement de l’entreprise envers la satisfaction de sa clientèle. De même, une campagne de contenu bien pensée peut susciter l’intérêt et l’enthousiasme autour de la marque, attirant de nouveaux clients et fidélisant ceux déjà existants. En somme, les community managers jouent un rôle crucial dans la construction et le maintien d’une image de marque positive et dans la création d’une communauté en ligne dynamique et engagée.

II. L’évolution du paysage numérique et l’importance des Community Managers :

Le paysage numérique est en constante évolution, avec l’émergence de nouvelles technologies, plateformes et tendances. Cette évolution rapide présente à la fois des opportunités et des défis pour les community managers, qui doivent s’adapter et évoluer pour rester pertinents dans un environnement en mutation constante.

1. Analyse de l’évolution des plateformes numériques :

Au fil des ans, nous avons assisté à une prolifération des plateformes numériques, allant des réseaux sociaux traditionnels aux nouveaux médias comme TikTok et Clubhouse. Chaque plateforme présente ses propres caractéristiques et exigences en termes de contenu et d’engagement. Les community managers doivent donc être familiarisés avec une gamme diversifiée de plateformes et être capables d’adapter leur stratégie en fonction des spécificités de chacune.

2. L’émergence de nouvelles tendances :

Le paysage numérique est également façonné par l’émergence de nouvelles tendances telles que le social commerce, la réalité augmentée (AR), et l’intégration croissante de l’intelligence artificielle (IA) dans les interactions en ligne. Ces tendances offrent de nouvelles opportunités pour les marques d’engager leur communauté de manière innovante et immersive. Les community managers doivent être à l’affût de ces tendances émergentes et être prêts à les intégrer dans leur stratégie pour rester compétitifs.

3. Adaptation des Community Managers :

Face à ces défis, les community managers doivent continuellement affiner leurs compétences et élargir leurs connaissances pour rester pertinents dans un paysage numérique en constante évolution. Cela peut impliquer de suivre des formations, de participer à des conférences et des webinaires, et de rester à jour sur les dernières tendances et technologies. De plus, les community managers doivent être agiles et flexibles, capables de s’adapter rapidement aux changements et de prendre des décisions éclairées pour maintenir une présence en ligne efficace.

En fin de compte, l’importance des community managers dans le paysage numérique moderne ne peut être sous-estimée. Leur capacité à s’adapter et à évoluer avec les tendances émergentes et les nouvelles technologies est cruciale pour assurer le succès et la pertinence des marques dans un environnement numérique en constante évolution.

III. Reconnaissance et valorisation des Community Managers :

Les community managers jouent un rôle crucial dans la réussite des entreprises sur les plateformes numériques. Cependant, leur travail est souvent sous-estimé et méconnu. Il est donc important de reconnaître et de valoriser leur contribution à la présence en ligne des marques.

1. Mise en lumière de l’importance du travail des Community Managers :

Il est essentiel de sensibiliser les dirigeants d’entreprises et le grand public à l’importance du rôle des community managers. Leur travail va bien au-delà de la simple gestion des réseaux sociaux ; ils sont les porte-paroles de la marque, les créateurs de contenu, les médiateurs de la communauté en ligne, et les gardiens de la réputation numérique de l’entreprise. Mettre en lumière l’impact de leur travail contribue à mieux comprendre leur importance dans l’écosystème numérique.

2. L’impact positif d’une reconnaissance officielle :

Une reconnaissance officielle du travail des community managers peut avoir un impact positif sur leur motivation et leur engagement. Cela peut se traduire par une augmentation de la satisfaction au travail, une rétention du personnel accrue, et une meilleure qualité du travail fourni. Les entreprises peuvent envisager d’inclure les community managers dans les programmes de reconnaissance des employés ou de leur attribuer des titres et des responsabilités supplémentaires pour reconnaître leur contribution.

3. Propositions de célébrations et de valorisation :

Il existe de nombreuses façons de célébrer et de valoriser les community managers. Les entreprises peuvent organiser des événements spéciaux, tels que des déjeuners ou des soirées de reconnaissance, pour honorer leur travail. Elles peuvent également mettre en place des récompenses internes, telles que des prix du meilleur community manager du mois ou de l’année, pour reconnaître les performances exceptionnelles. Enfin, une simple reconnaissance et mise en avant de leur travail au sein de l’entreprise, par le biais de newsletters, de publications sur les réseaux sociaux internes, ou de remerciements personnels, peut également contribuer à renforcer leur sentiment d’accomplissement et d’appartenance.

En conclusion, la reconnaissance et la valorisation des community managers sont essentielles pour maintenir leur motivation et leur engagement dans un domaine où leur travail est souvent sous-estimé. En mettant en lumière leur contribution et en leur accordant la reconnaissance qu’ils méritent, les entreprises peuvent renforcer la qualité de leur présence en ligne et favoriser leur succès dans un environnement numérique de plus en plus compétitif.

IV. Le futur des Community Managers :

Les community managers sont confrontés à un avenir où les avancées technologiques et les évolutions du paysage numérique continuent de redéfinir leur rôle et leurs responsabilités. Pour rester pertinents et efficaces, ils devront s’adapter à ces changements et investir dans leur développement professionnel de manière continue.

1. Perspectives sur l’avenir de la profession :

L’avenir des community managers sera marqué par une demande croissante de compétences en matière de gestion de la présence en ligne et de communication digitale. Les entreprises chercheront de plus en plus des professionnels capables d’adopter une approche stratégique et holistique de la gestion des communautés en ligne, intégrant les dernières technologies et tendances pour optimiser l’engagement et renforcer la réputation de la marque.

2. Intégration de l’intelligence artificielle et de l’automatisation :

L’intelligence artificielle et l’automatisation joueront un rôle de plus en plus important dans le quotidien des community managers. Des outils d’automatisation tels que les chatbots et les assistants virtuels peuvent être utilisés pour gérer les interactions de base avec la communauté, répondre aux questions fréquentes et diriger les utilisateurs vers les ressources appropriées. De même, l’analyse prédictive et le traitement automatique du langage naturel peuvent aider les community managers à mieux comprendre les besoins et les comportements de leur communauté, leur permettant ainsi d’adapter leur stratégie de manière plus précise.

3. Nécessité d’une formation continue et d’une adaptabilité constante :

Dans un paysage numérique en constante évolution, la formation continue et l’adaptabilité sont des éléments clés pour rester efficace en tant que community manager. Les professionnels devront investir dans leur développement professionnel en suivant des formations sur les dernières tendances et technologies, en développant leurs compétences en analyse de données et en renforçant leur compréhension des principes de communication et de marketing. De plus, ils devront être capables de s’adapter rapidement aux changements et de faire preuve de flexibilité dans leur approche pour répondre aux besoins changeants de leur communauté et de leur entreprise.

En résumé, le futur des community managers sera façonné par une intégration croissante de l’intelligence artificielle et de l’automatisation, ainsi que par la nécessité d’une formation continue et d’une adaptabilité constante. En investissant dans leur développement professionnel et en restant à l’affût des dernières tendances et technologies, les community managers pourront continuer à jouer un rôle crucial dans la réussite des entreprises sur les plateformes numériques.

Conclusion :

Dans le paysage numérique moderne, les community managers sont les piliers essentiels de la présence en ligne des entreprises et des marques. Leur travail va bien au-delà de la simple gestion des réseaux sociaux ; ils sont les architectes de l’engagement, les créateurs de contenu et les gardiens de la réputation numérique. En cette Journée Mondiale des Community Managers, il est crucial de réaffirmer leur importance et de reconnaître leur contribution essentielle à la réussite des entreprises dans le monde numérique.

Nous lançons un appel à une reconnaissance et une valorisation accrues de la profession de community manager. Leur travail souvent sous-estimé mérite d’être célébré et mis en lumière à l’échelle mondiale. En reconnaissant leur dévouement et leur expertise, nous renforçons leur motivation et leur engagement, ce qui se traduit par une meilleure qualité du travail fourni et une plus grande satisfaction au travail.

Enfin, nous encourageons tous les acteurs du digital à célébrer et à soutenir les community managers, non seulement aujourd’hui, mais tout au long de l’année. Leur rôle crucial dans la construction et le maintien d’une présence en ligne efficace mérite d’être salué et apprécié. En les soutenant dans leur mission d’engagement et de connexion dans le monde virtuel, nous contribuons à renforcer la réputation et le succès des entreprises dans un environnement numérique en constante évolution.

Cybersquatting : Comprendre les Risques et Protéger Votre Marque en Ligne

Le monde numérique offre d’innombrables opportunités pour les entreprises, mais il présente également son lot de défis. Le cybersquatting, une pratique malveillante visant à enregistrer des noms de domaine similaires ou identiques à des marques établies dans le but de tirer profit de leur notoriété, est l’un de ces défis. Dans cet article, nous explorerons en détail le phénomène du cybersquatting, ses risques potentiels, et comment les entreprises peuvent se protéger.

I. Qu’est-ce que le cybersquatting ?

Le cybersquatting, également connu sous le nom de « domain squatting », implique la réservation délibérée de noms de domaine avec l’intention de profiter de la renommée d’une entreprise, d’une marque ou d’une personnalité. Les cybersquatters peuvent ensuite utiliser ces domaines pour rediriger le trafic vers leur propre site, afficher des publicités indésirables, ou même nuire à la réputation de la marque légitime.

II. Risques du cybersquatting pour les entreprises :

  1. Confusion pour les consommateurs : Les sites web créés par des cybersquatters peuvent ressembler étroitement aux sites officiels de la marque, ce qui peut induire en erreur les consommateurs et compromettre la confiance.
  2. Perte de trafic et de clients : En redirigeant le trafic vers des sites non autorisés, les cybersquatters peuvent priver les entreprises légitimes de visiteurs, de clients et de revenus.
  3. Atteinte à la réputation : Si un cybersquatter utilise un nom de domaine similaire pour des activités frauduleuses ou diffamatoires, cela peut gravement nuire à la réputation de la marque légitime.

III. Exemples récents de cybersquatting :

  1. Cybersquatting et marques de renommée mondiale : Des marques mondiales telles que Nike, Apple et Microsoft ont été régulièrement ciblées par des cybersquatters cherchant à exploiter la popularité de ces noms.
  2. Utilisation de noms de domaine similaires : Des variantes de noms de domaine, comme l’ajout de tirets, de chiffres ou de fautes d’orthographe intentionnelles, sont souvent utilisées par les cybersquatters pour créer des sites trompeurs.
  3. Enregistrement de noms de domaine expirés : Certains cybersquatters profitent de la négligence des propriétaires de noms de domaine en renouvelant rapidement les domaines expirés pour les utiliser à des fins malveillantes.

IV. Comment protéger votre marque contre le cybersquatting :

  1. Surveillance régulière des noms de domaine : Les entreprises doivent mettre en place une surveillance proactive des noms de domaine pour repérer rapidement tout enregistrement suspect.
  2. Enregistrement de multiples extensions de domaine : Enregistrer des variantes de votre nom de domaine avec différentes extensions (.com, .net, .org, etc.) peut aider à réduire le risque de cybersquatting.
  3. Recours juridiques : Les lois sur la propriété intellectuelle offrent des recours légaux contre le cybersquatting. Engager des actions en justice peut dissuader les cybersquatters et protéger la réputation de votre marque.

Conclusion :

Le cybersquatting demeure une menace constante dans le monde en ligne. En comprenant les risques associés et en mettant en œuvre des stratégies de protection, les entreprises peuvent atténuer les effets négatifs du cybersquatting et préserver leur réputation en ligne. La vigilance, la surveillance continue et la collaboration avec des experts juridiques sont des éléments clés pour défendre efficacement votre marque contre cette pratique malveillante.

Search Generative Experience (SGE)

L’Innovation de Google : La Search Generative Experience Redéfinit la Recherche en Ligne

L’un des domaines les plus dynamiques de la technologie est celui des moteurs de recherche, et Google se trouve au cœur de cette révolution. En tant que moteur de recherche leader dans le monde, Google est constamment à la recherche de moyens d’améliorer l’expérience de recherche de ses utilisateurs. L’une de leurs innovations les plus récentes, la « Search Generative Experience » ou SGE redéfinit la manière dont nous interagissons avec l’information en ligne. Cette approche va au-delà de la simple liste de résultats pour créer une expérience de recherche plus personnalisée et efficace.

Depuis sa création, Google a révolutionné la recherche en ligne en fournissant des résultats plus pertinents et en développant des algorithmes sophistiqués. Cependant, le monde numérique évolue rapidement, et la nécessité d’innover constamment est cruciale pour rester compétitif. C’est dans ce contexte que Google a introduit la « Search Generative Experience« 

Le « Search Generative Experience » : Qu’est-ce que c’est ?

La SGE est une approche de la recherche qui utilise l’intelligence artificielle (IA) pour personnaliser les résultats de recherche. Au lieu de simplement retourner une liste de liens, Google vise à comprendre l’intention de l’utilisateur derrière la requête et à générer des résultats adaptés. Par exemple, si vous recherchez des informations sur « Les meilleures destinations de voyage », au lieu de simples liens, vous pouvez obtenir une carte interactive avec des suggestions de destinations basées sur vos préférences antérieures et des recommandations populaires.

Les Avantages

Un avantage majeur de cette approche est l’amélioration de l’expérience utilisateur. Les résultats générés sont plus pertinents, ce qui réduit le temps passé à parcourir des pages de résultats inutiles. Par exemple, si vous avez une passion pour la cuisine italienne, Google pourrait personnaliser les résultats de manière à vous montrer davantage de recettes italiennes et de restaurants locaux qui correspondent à vos goûts.

Cette personnalisation va au-delà des simples préférences culinaires. Elle s’étend aux centres d’intérêt, aux lieux, aux films, aux livres, et à bien d’autres aspects de la vie d’un utilisateur. Ainsi, les entreprises ont l’opportunité de mieux cibler leur public en utilisant cette approche pour promouvoir leurs produits et services.

Technologie sous-jacente

La « Search Generative Experience » repose sur des technologies avancées telles que l’IA, le machine learning et le traitement du langage naturel (NLP). Google utilise ces outils pour analyser des milliards de pages web, comprendre le sens derrière les mots-clés, et extraire des informations pertinentes. Grâce à ces capacités, Google peut générer des réponses plus précises, des extraits de texte et des informations structurées pour répondre aux questions des utilisateurs.

Personnalisation et Respect de la Vie Privée

La personnalisation des résultats soulève des questions concernant la vie privée des utilisateurs. Cependant, Google prend des mesures pour protéger les données personnelles et assure que la personnalisation est basée sur des données anonymisées. Les utilisateurs ont également un contrôle sur leurs préférences de personnalisation, ce qui garantit un équilibre entre personnalisation et confidentialité.

Défis et Critiques

La personnalisation des résultats soulève des préoccupations, notamment la création de bulles d’information où les utilisateurs sont exposés uniquement à des perspectives similaires aux leurs. De plus, il y a des inquiétudes concernant le biais potentiel dans les résultats, où l’IA peut renforcer les stéréotypes.

L’Évolution Continue

Google s’engage à continuer d’innover dans le domaine de la recherche. Ils travaillent sur des projets futurs visant à améliorer davantage l’expérience de recherche et à résoudre les défis liés à la personnalisation.

Conclusion

La « Search Generative Experience » de Google est un exemple remarquable de l’utilisation de l’IA pour améliorer la recherche en ligne. Elle promet une expérience plus fluide et plus personnalisée pour les utilisateurs, tout en relevant des défis en matière de vie privée et de biais. Alors que Google continue de développer cette technologie, il est clair que la recherche en ligne évoluera pour s’adapter aux besoins et aux préférences individuels de chaque utilisateur. Restez à l’affût des développements à venir dans ce domaine, car l’avenir de la recherche en ligne sera sans aucun doute passionnant et dynamique.

Le Droit à l’Oubli : Protéger la Vie Privée à l’Ère Numérique

Dans un monde où la technologie progresse rapidement et où chaque aspect de notre vie quotidienne est de plus en plus connecté, la question du droit à l’oubli en France revêt une importance croissante. Ce concept, qui trouve ses racines dans le droit européen, est essentiel pour protéger la vie privée des individus et équilibrer la mémoire numérique avec le respect de la dignité humaine.

Le Droit à l’Oubli en France : Qu’est-ce que c’est ?

Le droit à l’oubli est une composante essentielle de la législation sur la protection des données personnelles. Il permet aux individus de demander la suppression ou la désindexation de leurs données personnelles sur Internet lorsque ces données ne sont plus pertinentes, précises, ou nécessaires. Il est basé sur le règlement général sur la protection des données (RGPD) de l’Union européenne, qui vise à garantir le respect des droits fondamentaux des citoyens européens en matière de protection des données.

Les Principes Clés du Droit à l’Oubli

  1. Le droit de demander la suppression : Les individus ont le droit de demander à ce que leurs données personnelles soient supprimées par les responsables du traitement, généralement les entreprises ou les moteurs de recherche.
  2. La pertinence et l’actualité des données : Les données personnelles ne doivent pas être conservées plus longtemps que nécessaire pour la finalité pour laquelle elles ont été collectées. Si elles ne sont plus pertinentes, elles doivent être effacées.
  3. Le droit à l’information : Les individus doivent être informés de la manière dont leurs données sont utilisées, et ils doivent avoir la possibilité de donner leur consentement éclairé.

L’Application du Droit à l’Oubli

En France, l’application du droit à l’oubli est supervisée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). La CNIL joue un rôle crucial dans la protection des données personnelles et veille à ce que les entreprises et les moteurs de recherche respectent les droits des individus en matière de suppression de données.

Il est important de noter que le droit à l’oubli n’est pas absolu. Il doit être équilibré avec d’autres droits, tels que la liberté d’expression et le droit à l’information. Les demandes de suppression de données doivent être examinées au cas par cas pour trouver le juste équilibre entre la vie privée et l’intérêt public.

Les Défis du Droit à l’Oubli

Bien que le droit à l’oubli représente une avancée significative dans la protection de la vie privée, il n’est pas exempt de défis. Certains critiquent le manque de cohérence dans son application, tandis que d’autres estiment que les entreprises technologiques ont un pouvoir excessif pour décider quelles données supprimer.

De plus, l’évolution rapide de la technologie pose des défis continus en matière de protection de la vie privée, obligeant les législateurs et les régulateurs à s’adapter en permanence pour garantir que les droits des individus sont préservés.

Conclusion

Le droit à l’oubli est un outil puissant pour protéger la vie privée des citoyens dans l’ère numérique. Il incarne la volonté de trouver un équilibre entre la mémoire numérique et le respect de la dignité humaine. Alors que la technologie continue d’avancer, il est essentiel de maintenir et de renforcer cette protection pour garantir que les droits des individus sont préservés dans un monde de plus en plus connecté.

Les mentions légales

En 2023, les mentions légales pour les entreprises sont obligatoires sur un site internet afin de garantir la transparence de l’entreprise et protéger les droits des utilisateurs. Les informations à inclure sur un site internet varient en fonction de la nature de l’activité de l’entreprise, mais il existe certaines mentions obligatoires à respecter.

Pour les entreprises, il est important de mentionner la raison sociale et l’adresse de l’entreprise, ainsi que son numéro SIRET et son numéro de TVA intracommunautaire si elle en a un. Si l’entreprise est soumise à une réglementation spécifique, comme les agences de voyage ou les professionnels de l’immobilier, elle doit également mentionner le nom de l’autorité de tutelle qui la contrôle.

Il est également nécessaire de préciser les coordonnées de l’hébergeur du site, ainsi que les coordonnées du directeur de publication, c’est-à-dire la personne responsable du contenu publié sur le site. Si l’entreprise a un capital social, il est également conseillé de mentionner le montant de ce capital, ainsi que l’identité de l’associé unique ou des actionnaires.

Il est important de mentionner les conditions générales d’utilisation du site, ainsi que la politique de confidentialité et de protection des données personnelles. Les utilisateurs doivent être informés de la manière dont leurs données sont collectées et utilisées, ainsi que de leurs droits en la matière.

Enfin, il est conseillé d’inclure une clause de non-responsabilité pour les contenus externes qui pourraient être liés au site, ainsi qu’une mention sur les droits d’auteur et les droits de reproduction du contenu présent sur le site.

En revanche, pour les particuliers, les mentions légales sur un site internet ne sont pas obligatoires, mais il est conseillé d’inclure certaines informations pour garantir la transparence et la crédibilité du site.

Il est ainsi recommandé de mentionner le nom et l’adresse de l’auteur du site, ainsi que les coordonnées de l’hébergeur. Si le site propose des services payants, il est important de mentionner les tarifs et les modalités de paiement.

Il est également conseillé d’inclure une politique de confidentialité et de protection des données personnelles pour informer les utilisateurs de la manière dont leurs données sont collectées et utilisées, ainsi que de leurs droits en la matière.

Enfin, il est recommandé de préciser les droits d’auteur et les droits de reproduction du contenu présent sur le site, ainsi qu’une clause de non-responsabilité pour les contenus externes qui pourraient être liés au site.

En résumé, que ce soit pour les entreprises ou pour les particuliers, les mentions légales sur un site internet permettent d’assurer la transparence et la crédibilité du site, ainsi que de protéger les droits des utilisateurs. Il est donc important de les inclure de manière claire et précise sur son site web.

L’engagement sur les réseaux sociaux

L’engagement dans les médias sociaux est le fait d’interagir avec le contenu d’une marque sur les plateformes de médias sociaux. Un engagement accru sur les médias sociaux peut entraîner une augmentation des ventes et de la fidélité des clients, mais il est important que les entreprises comprennent comment cela fonctionne avant de commencer à essayer d’augmenter leurs propres niveaux d’engagement.

Voici quelques conseils :

1/ Élaborer une stratégie

  • Définissez vos objectifs.
  • Déterminez votre public cible.
  • Décidez des plateformes à utiliser.

2/ Créer un contenu de qualité

Pour créer un contenu de qualité, il est important de rechercher des sujets et des tendances pertinents pour votre public. Vous pouvez le faire en regardant ce que d’autres entreprises de votre secteur publient ou en effectuant une recherche de mots clés de base sur Google Trends. Une fois que vous avez trouvé quelque chose d’intéressant, créez un contenu qui soit utile aux lecteurs – et publiez-le régulièrement !

3/ Engagez-vous auprès de votre public

L’un des meilleurs moyens d’accroître l’engagement est de répondre aux commentaires et aux questions. Si vous n’avez pas le temps, envisagez de deleguer a une entreprise spécialisée ou embauchez une personne pour vous aider dans cette tâche.

Lorsque vous répondez, veillez à ce que votre réponse soit pertinente et opportune. Si quelqu’un pose une question sur votre produit ou service, assurez-vous d’y répondre de manière exhaustive afin de ne pas perdre son intérêt pour les conversations futures.

4/ Utiliser du contenu visuel

Le contenu visuel est l’un des moyens les plus efficaces d’engager le dialogue avec votre public. C’est également un excellent moyen d’attirer de nouveaux adeptes, car les messages visuels ont trois fois plus de chances d’être partagés que les messages textuels.

Pour être sûr de tirer le meilleur parti de vos publications visuelles, voici quelques conseils :

* Incluez des images dans chaque message. Il ne s’agit pas seulement de télécharger des photos ; il peut s’agir d’une infographie ou même d’une vidéo ! L’essentiel est d’utiliser des images qui vous permettent de raconter votre histoire et d’attirer l’attention sur ce qui compte le plus dans ce que vous publiez.

5/ Optimisez vos articles pour le référencement

L’optimisation de vos posts pour le référencement est un excellent moyen d’améliorer votre visibilité sur les médias sociaux et de renvoyer du trafic vers votre site web. Voici quelques conseils :

* Incluez des mots-clés dans le titre de l’article, mais n’en faites pas trop. Si vous utilisez trop de mots-clés, vous aurez l’air d’un spammeur et vous serez pénalisé par Google pour bourrage de mots-clés (ce qui est mauvais).

* Utilisez les hashtags lorsque c’est approprié, mais n’en faites pas trop ! Les hashtags peuvent être utilisés pour organiser les conversations autour de certains sujets ou événements. Ils sont donc utiles si vous voulez que les personnes intéressées par ces sujets ou événements puissent voir ce qui se dit à leur sujet sur Twitter à un moment donné. Cependant, si tous vos messages comportent cinq hashtags différents chacun (et aucun autre contenu), cela ressemble aussi à du spam ! Essayez plutôt d’utiliser un ou deux hashtags par message, ce qui semble suffisant sans être excessif.

* Des liens vers l’extérieur chaque fois que c’est possible ! Les liens donnent aux lecteurs des informations supplémentaires sur ce qui a été discuté dans un article/vidéo/etc., ce qui les rend plus susceptibles de rester engagés avec le contenu qui a été partagé avant de passer à autre chose en ligne plus tard dans leur historique de navigation ».

5/ Encourager Les interactions

Le contenu généré par les utilisateurs  sur votre activité est un excellent moyen de susciter l’engagement et de développer votre marque. Vous pouvez partager des articles, photos, des vidéos et d’autres éléments générés par les utilisateurs avec vos followers en mentionnant l’auteur sur des plateformes de médias sociaux telles qu’Instagram et Facebook.

Un autre moyen d’encourager les interactions est de mettre en avant vos clients dans vos posts : utilisez leur témoignage dans une campagne publicitaire. En mettant en avant des personnes réelles qui utilisent vos produits ou services, vous donnerez à vos clients potentiels l’assurance que ces produits fonctionnent !

6/ Analysez vos performances

Une fois que vous avez identifié vos objectifs et votre public, il est temps de commencer à analyser vos performances.

* Suivez les indicateurs d’engagement.

* Mesurez le retour sur investissement.

* Utilisez des outils d’analyse tels que Google Analytics ou Facebook Insights (ou les deux !) pour suivre l’efficacité de vos efforts en matière de médias sociaux en termes de renvoi de trafic vers votre site Web, d’augmentation des pistes de vente et des conversions, et plus encore.

7/ Collaborer avec des influenceurs

Les influenceurs sont des personnes qui ont un grand nombre d’abonnés sur les médias sociaux, et on en trouve dans tous les secteurs d’activité.

Vous pouvez ensuite collaborer avec les influenceurs pour créer ensemble du contenu que vous partagerez sur vos chaînes respectives. Cela vous permettra de tirer parti de leur portée tout en établissant des relations avec eux – et c’est un excellent moyen d’accroître la notoriété de votre marque dans votre secteur !

Conclusion

L’engagement sur les médias sociaux est un élément clé de la stratégie marketing de votre entreprise. Il est important d’avoir une présence active sur les médias sociaux, mais il peut être difficile de trouver la meilleure façon d’engager votre public et de le ramener dans l’entonnoir des ventes.

Il existe de nombreuses façons pour les entreprises d’accroître leur engagement sur les médias sociaux :

  • Publier régulièrement (et de manière cohérente) un contenu engageant
  • Répondre rapidement lorsque quelqu’un commente ou pose une question
  • Partager des messages pertinents provenant d’autres sources afin que les personnes qui vous suivent sur les médias sociaux voient également ces messages.